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proposition lancée !

vendredi 2 février 2007, par lapholie


J. Sackur propose de lancer, comme on le faisait au XVIIIe siècle, un concours de philosophie autour d’une question philosophique d’actualité, à laquelle tout le monde, étudiants, professeurs, seront invités à répondre soit sous forme de dissertation, soit sous forme d’essai, mais sans que la forme académique ou non du résultat n’importe.

Cela permettra (enfin) de mettre en valeur nos idées et pas seulement notre aptitude à vomir un cours en trois-parties trois-sous-parties. En plus, raisonner sur des véritables problèmes de notre société ne pourra que convenir à ceux qui s’affligent de voir la philosophie progressivement exclue de la société.

Toute personne intéressée pour faire partie du comité de rédaction de la question ou du comité de correction est invitée à se manifester -> philopx@gmail.com ou commentaire à cet article. merci

1 Message

  • proposition lancée !

    12 avril 2008 20:03, par Alain Cocarix

    Sujet : Odyssée kaléidoscopique (philosophique et théologique) de longue haleine « périple en 28 de lignes ».

    Chère Madame, Cher Monsieur :

    Nous souhaitons vous faire connaître une oeuvre littéraire française (inédite), écrite à Rio de Janeiro au Brésil. Le périple du jeune couple « Ora et Gad » au royaume hellénistique d’Alexandrie (227 av. J-C).

    Découvrez ce petit conte « en 28 de lignes ». Une histoire peuplée d’images aux plus riches couleurs et aromes d’un passé ressuscité.

    Il s’agit d’un voyage écrit en sept unités structurelles d’à peine quatre lignes chacune, doublé d’une odyssée kaléidoscopique (philosophique et théologique) de longue haleine. Il a fallu trois décennies d’études pour atteindre la limite d’évolution du récit.

    L’achèvement de l’œuvre coïncide avec la très proche mise en service du LHC situé au CERN (Genève). Un nouvel et gigantesque instrument scientifique occupant toute la longueur d’un tunnel annulaire de 27 km, situé à 100 mètres sous terre. Cette machine à remonter le temps est destinée à reproduire les conditions des premiers instants d’existence de l’univers.

    Le LHC et l’odyssée Ora et Gad suivent, tous les deux, une orientation annulaire. En outre le poème abrite un artifice de raisonnement : tous les mots substitué ont été soumis à un calcul dont le résultat ne pouvait être que 27. Ceci pour obliger l’auteur à scruter, à chaque pas, l’ensemble de toutes les phrases écrites et proposées. Cette méthode a fait office de tamis d’orpailleur, source de découvertes heureuses, mais également de ruche aux lettres de feu où l’âme trouve à faire son miel.

    À mes hôtes, férus d’érudition, je souhaite bon vent, bonne mer et de belles eaux turquoises !

    Alain Cocarix

    http://cocarix.blogspot.com

    Voir en ligne : Ora et Gad


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